La liberté

Ce matin, un dimanche matin, en sortant des bébés nageurs, comme tous les dimanches matin ou presque, avec Neyla, nous avons croisé Lucie et Léo, son fils.
Ce matin, un dimanche matin, en sortant des bébés nageurs, comme tous les dimanches matin ou presque, avec Neyla, nous avons croisé Lucie et Léo, son fils.
Par une belle journée de décembre, le soleil est haut dans le ciel, il fait froid mais beau, froid
et beau.
Une fin d’après-midi de novembre, je suis dans le train Paris – Lyon. Ça me rappelle il y a six ans. Six ans déjà, six ans maintenant, mon film, Le Goût du partage, Le Goût du partage, que j’ai tourné à Lyon. J’en ai fait des allers retours Paris – Lyon.
C’est un mercredi de septembre comme un jour d’été. J’ai laissé ma fille à la crèche, une crèche familiale, je suis allée voir ma psy, une psychanalyse ça dure des année, la séance était bonne, c’est comme ça, je continue d’avancer.
Un mercredi 15 aout. Un mercredi comme un dimanche, un mercredi comme un dimanche à la campagne. Nous sommes invitées, Neyla et moi, ma fille et moi, comme c’est étrange et doux, invitées toutes les deux pour la première fois par un ami à déguster ses tomates.
Je suis à la gare de de Valence avec Catherine et Neyla, ma sœur et ma fille, je rentre un peu plus tôt avec Neyla à Paris pour voir un médecin, elle est couverte de boutons depuis 10 jours, et ils ne se guérissent pas, un notamment au coin de la bouche. C’est comme ça et ça me fend le cœur.