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Il est assis dan Quand des yeux deviennent un peu triste, il ne reste qu’à s’asseoir sur le trottoir et attendre . Est-ce le bout du chemin ou son commencement ? Je ne saurais dire, je regarde mes pieds. Plus qu’une prière, les mains se recueillent et la bouche va esquisser un sourire. Pour sauver la face ? Pas seulement, une inaptitude à la complaisance quand la sagesse veut que la vie brille pour celui qui sait qu’avancer est la seule solution. L’unique façon d’aller vers l’indicible, la fin de tout être humain. Alors, j’ai vue la cicatrice. Marque du temps et d’un chagrin passé. Quand est il de celles dérobées aux regards des passants? Je ne pourrait expliquer le paradoxe d’un état d’apesanteur. Voler, oublier et se tuer. Pourquoi pas, l’instant meurt bien lui à chaque instant. Ainsi, si la position est figée, l’esprit lui ne l’est pas. Mouvance perpétuelle. Le tableau des impressions se dessine en même temps que toi…